Mon ami Ivan Sigg vient de publier son troisième roman !

Le flyer de promotion raconte ceci : “De 1950 à nos jours, du Finistère à Manhattan et de Physiopolis à Bali: un cargo qui s’échoue et bouleverse une île en la coupant en deux, quatre hommes et une femme qui vont repeupler ce désastre avant de succomber au Radon, un couple de lapins doués de parole qui ne pensent qu’à s’encoigner, un champ magnétique à la puissance phénomérique, un secret planétaire sur le point d’être dévoilé à l’ONU… Et si le sort de l’humanité reposait entre les incisives d’une tripotée de rabbits (du latin cuniculus = lapin)?

Roman à tiroirs, réflexion décomplexée sur la création littéraire, où l’auteur se met parfois en scène aux côtés de ses personnages, L’île du toupet s’impose comme un délire littéraire aux divers niveaux de lecture. Humour, absurde, audace, trois ingrédients d’une potion foutraque qui pulvérise les portes de l’imaginaire. Avec ce conte moderne, Ivan Sigg signe une œuvre à la fois surprenante et «jubipoilante« qui ne ressemble à rien de connu. Mariant mystère, poésie, grivoiserie, étude de mœurs et physique des plasmas, les aventures insulaires de cet OVNI littéraire vont vous décoiffer de façon durable (de lapin).”

A découvrir chez Publibook : http://www.publibook.com/boutique2006/detail-5021-PB.html


Comments

5 responses to “L’ile du toupet”

  1. Et tu as fini par recevoir ton exemplaire finalement ?

    1. Toujours pas… Publibook m’a annoncé que cela arrivait sous peu !

    2. A lire également : Les Lapins d’Ivan Sigg par Daniel Fattore
      http://fattorius.over-blog.com/article-les-lapins-d-ivan-sigg-57247150.html

  2. Ah j’ai oublié je l’ai reçu jeudi dernier… Je ne peux parler que de l’aspect extérieur pour l’instant… Il est top… c’est bien un vrai livre !

  3. Je l’ai dévoré avec passion !

    Bien sur j’y ai retrouvé des éléments de discussion échangé avec Ivan, mais j’ai surtout été émerveillé par une intrigue étonnante aux conclusions indispensables aux humains !

    Je vous le recommande donc et j’encourage Ivan Sigg à écrire un autre roman !