Isabel m’a fait remarquer hier une phrase tirée d’un ouvrage de Daniel Pink, L’homme aux deux cerveaux :
A la Yale School of Medecine, les étudiants aiguisent leurs capacités d’observation au Yale Center for British Art, parce que étudier la peinture aide à découvrir les détails subtils sur l’état de santé d’un patient.
L’importance accordée à la capacité d’observation met en lien deux aspects de mon quotidien.
Le premier, ludique, est le projet Un Jour Une Oeuvre, qui invite les visiteurs à dire ce qu’ils voient des oeuvres d’art proposées à leurs regards.
Le second, professionnel, est l’activité de conseil et d’accompagnement menée avec Ayeba mettant en avant l’impérative nécessité d’observer la réalité avant de pouvoir mener des actions destinées à améliorer le flux de valeur.
Les pointillées continuent de se connecter 😉
La photo de mise en avant de cet article est de Vea Avernalis