En quelques jours, Google+ a provoqué une avalanche de messages dans ma boite aux lettres : notifications, invitations etc… montrant si cela était nécessaire l’engouement suscité par la nouvelle création du géant de l’exploitation de données comportementales.

Google+ n’apporte pas de nouveautés sur les principes de fonctionnement par rapport aux agrégateurs qui l’ont précédés : hi5, Orkut ou Facebook bien sur. C’est de la centralisation de données personnelles que vient la valeur pour les utilisateurs… et bien sur pour celui qui détient une vue globale des données comportementales et du graphe social des liens entre les utilisateurs du réseau.

A ce niveau, la catégorisation par “cercle” des contacts de chaque utilisateur va apporter une information complémentaire probablement très utile à exploiter à des fins marketing…

Bien sur, une autre option est de construire un système pair à pair permettant d’assurer le même partage d’information “entre amis” sans échanger ce service contre la cession des données statiques et dynamiques nous caractérisant… Le problème à résoudre ? Le financement… Car dans ce cas, il n’est plus question de financer le logiciel par l’exploitation des données…

Pour aller plus loin, vous pouvez regarder un projet comme diaspora ou vous intéresser à ce que fait status.net avec identi.ca par exemple…