J’ai participé ce 9 octobre à une matinée d’échanges organisée par Forrester : « Collaboration : Expanding Knowledge Work’s Frontier », une trentaine de personne réunies pour écouter échanger avec les spécialistes du Knowledge Management et de la Business Intelligence présenter leurs analyses (ce que je croyais en arrivant est barré).
L’introduction de Laura Koetzle évoquait l’impératif de collaboration qui s’imposait aux organisations, d’une part, parce que c’est ce que vivaient les « clients » sur le web et d’autres part, parce que les futurs employés de ces organisations seraient rompus aux techniques de collaboration du web et ne comprendraient pas que cela ne puisse exister.
Du web 2.0 dans l’entreprise ?
C’est ce que présentait Tim Walters en proposant de dépasser la gestion de contenu pour aller vers de la gestion de contenu, de communauté et d’expérience utilisateur (en anglais, cela fait WCM to WCCCM… ce qui est plus drôle). Deux axes à la présentation donc, accepter l’intégration avec des communautés internes et externes, et améliorer l’expérience utilisateur (cette traduction mot à mot de l’anglais ne me plait pas… auriez-vous autre chose ?) en allant vers plus de personnalisation, de recommandation… Les questions des attentes croissantes des utilisateurs du SI et leur utilisation pour leur métier d’outils disponibles « dans le nuage » comme facebook, twitter… ont été abordées. Plutôt réjouissant de constater que les pratiques du web 2.0 commencent à diffuser dans les organisations de toutes tailles et toutes natures !
Marier les informations structurées et non structurées !
La seconde partie étaient consacrée à la Business Intelligence. Enfin c’est ce que je nommais comme cela, avant que les intervenants de cette présentation, Matthew Brown et Boris Evelson, n’expliquent qu’il fallait plutôt parler d’Information Intelligence lorsque l’on souhaitait exploiter la richesse des informations structurées ainsi que celles non structurées d’une organisation. Une amélioration que j’avais intégré à l’informatique décisionnelle sans l’expliquer, ce qui m’avait mis dans l’embarras face à un spécialiste de l’informatique décisionnelle qui me refusait de faire une introduction sur ce que cela apportait à la performance des organisations, arguant du fait que la BI était un sujet ancien et connu… Un sujet très certainement à enrichir des pratiques de collaboration issues du web !
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